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Recherche par auteur : Fournier, Jean-Louis

22 résultats. Page 1 sur 2.

Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 33825
Résumé:"Au Moyen Age, quand on était malheureux, on s'enfilait une pinte de cervoise et on attendait que ça passe. Au XIXe, on a remplacé la cervoise par de l'absinthe. Et puis l'absinthe a été interdite, et le bonheur est devenu obligatoire." Comment être heureux ? Exercices pratiques de confiance en soi, méditation, huiles essentielles, pierre de rhinocérite, croisière du bien-être... Jean-Louis Fournier a testé pour vous les thérapies en tout genre et la montagne de petits conseils qui peuvent tout changer. Résultat : un livre drôle, sensible et d'une grande justesse, qui nous fait rire de nos petits ou grands malheurs et nous libère de la tyrannie du bonheur.
Lu par : Marianne Pernet
Durée : 1h. 18min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 19658
Résumé:Il y aura toujours une mite dans ma commode, un moustique dans ma chambre, un camion devant moi, un serveur vocal pour me répondre, un humoriste qui ne me fait pas rire. Et un désespéré pressé, pour se jeter sous mon TGV. Je ne serais jamais content.
Lu par : Cathy Rocaboy
Durée : 10h. 12min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 65440
Résumé:Une évocation personnelle du nord de la France à travers les personnalités, les lieux et les traditions qui ont marqué l'auteur au cours de sa vie. " Quand je suis arrivé en 2CV à Paris avec ma mère pour louer une chambre d'étudiant, je me suis retrouvé, au milieu des embouteillages, à côté d'un taxi. Le chauffeur avait repéré ma plaque d'immatriculation marquée 62 et il m'a lancé : " Fais pas de dégâts, le mineur ". Quelle bonne idée d'avoir mis une grande partie des gens du Nord dans les Hauts-de-France, dans le haut de l'affiche ! Quelle bonne idée d'avoir mis dans la lumière des gens qui ont souvent été dans le noir ! Le noir de la mine, le noir du ciel, le noir de l'ignorance. Avec le temps, j'ai perdu pas mal de choses. Des illusions, des cheveux, des dents, mes clefs... Je n'ai pas perdu le Nord. J'ai toujours conservé pour le Nord une immense tendresse, j'ai toujours à mes sabots de la terre de l'Artois, dans ma tête des souvenirs de ciels immenses et changeants, et dans mon coeur beaucoup d'amis. Je les reconnais à l'éclat de leur regard, il brille comme de l'anthracite. Je n'ai jamais perdu le Nord. Je l'ai gagné. "
Lu par : Daniel Schreiber
Durée : 2h. 8min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 22709
Résumé:Votre psy pense à vous, mais vous, est-ce que vous pensez à elle ? Est-ce que vous vous mettez parfois à sa place, à elle qui essaie de se mettre à la vôtre ? Essayez, pour une fois, de lui adoucir la tâche. Arrêtez de toujours vous plaindre, racontez-lui des histoires. Soyez léger, parfois drôle, au récit de vos angoisses ajoutez quelques facéties? Soyez celui avec lequel elle ne s'ennuie jamais, celui qui a toujours des choses passionnantes à raconter, celui avec qui les séances sont récréatives et trop courtes. Celui dont elle puisse se dire plus tard, avec nostalgie : "c'était un bon client..." J'ai moi-même essayé de l'être, est-ce que j'ai réussi ? Demandez à ma psy.
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15152
Résumé:« Mon papa était docteur. Il soignait les gens, des gens pas riches, qui souvent ne le payaient pas, mais ils lui offraient un verre en échange, parce que mon papa, il aimait bien boire un coup, plusieurs coups même, et le soir, quand il rentrait, il était bien fatigué. Quelquefois, il disait qu'il allait tuer maman, et puis moi aussi, parce que j'étais l'aîné et pas son préféré. Il était pas méchant, seulement un peu fou quand il avait beaucoup bu. Il a jamais tué personne, mon papa, il se vantait. » Jean-Louis Fournier raconte ses souvenirs d'enfance dans une ville de province, au milieu d'une famille pas tout à fait comme les autres, avec un papa docteur qui s'habille comme un clochard, fait ses visites en pantoufles, perd sa voiture dans un champ de betteraves. Un papa qui faisait rire ou qui faisait pleurer ?
Durée : 1h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15184
Résumé:Comme son épi rétif à toute Gomina, le petit Jean-Louis se rebelle contre la culpabilisation permanente de son éducation religieuse, épris qu'il est de liberté : " Le vent n'était pas seulement dehors, il était aussi à l'intérieur de ma tête. " Cancre, blagueur, déluré et impertinent, il ne lésine pas sur les bêtises pour exaspérer les bons pères du collège Saint-Joseph d'Arras et s'attirer la sympathie des galopins rieurs. Même si la peur de finir dans les " grandes marmites " de l'enfer le tenaille à chaque instant, il n'en déplace pas moins la statue de la Sainte-Vierge dans les toilettes de Saint-Jo... parce qu'elle est laide ! Quant au paradis, il en connaît déjà l'ivresse, grâce à Chopin ou Mariano, aux fruits du verger d'une tante, aux vers de Racine... Avec malice et tendresse, par petits tableaux savoureux, l'auteur de "Je vais t'apprendre la politesse, p'tit con" s'amuse de ses démêlés avec les curés et le Bon Dieu de son enfance.
Lu par : Pascale Naux
Durée : 1h. 9min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70928
Résumé:« Je ne voulais pas attendre plus longtemps pour vous écrire, vous parler de mon impatience, peut-être pour apprendre à attendre et ne plus être l’enfant gâté qui veut tout, tout de suite. En attendant, j’attends le bonheur et mon plombier. » Avec son ton unique, son humour, son esprit inimitable, Jean-Louis Fournier nous offre un récit plein de tendresse, de mélancolie et de rires sur la patience et son contraire : nos impatiences, nos urgences, notre rapport au temps.
Durée : 1h. 29min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 67734
Résumé:Le premier souvenir de solitude ? Un petit garçon coiffé en brosse qui réclame sa mère à l'accueil d'un grand magasin. Plus tard, c'est un enfant de 10 ans qui nage seul dans la mer du nord et qui lorsqu'il se retourne découvre la plage vide : personne ne l'a attendu. Puis c'est la première danse refusée, la première rupture, le premier deuil, mais c'est aussi tous ces moments choisis, voulus, espérés, goutés : seul avec un livre, avec une musique, seul à regarder les autres, seul en écrivant. Jean-Louis Fournier est toujours ce petit garçon, fils unique qui rêvait d'amitiés et d'une grande famille mais qui espérait aussi s'échapper, grandir, rester seul. Aujourd'hui dans un grand appartement, après la mort de sa femme, de ses amis, de son éditeur, ce désir des autres et ce besoin de solitude sont restés les mêmes et il passe de l'un à l'autre. Avec un mélange de douceur, de tristesse et d'espièglerie, il regarde les fenêtres toujours fermées de ses voisins (des gens seuls comme lui ?), il observe ce monde où les hommes sont ultra connectés et semblent n'avoir jamais été aussi seuls, il attend la visite d'une jeune femme qui l'emmène au musée, qui le distrait, lui apporte sa jeunesse : mais des deux qui est le plus seul ? Un livre tendre, délicat, mélancolique.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 7min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 27471
Résumé:Roman autofictionnel sur la fille de l'auteur, qui n'est plus tout à fait la même depuis sa rencontre avec Jésus.
Lu par : Janick Quenet
Durée : 1h. 18min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 17490
Résumé:Le ciel était fini, la terre était finie, les animaux étaient finis, l'homme était fini. Dieu pensa qu'il était fini aussi, et sombra dans une profonde mélancolie. Il ne savait à quoi se mettre. Il fit un peu de poterie, pétrit une boule de terre, mais le coeur n'y était plus. Il n'avait plus confiance en lui, il avait perdu la foi. Dieu ne croyait plus en Dieu. Il lui fallait d'urgence de l'activité, de nouveaux projets, de gros chantiers. Il décida alors de chercher du travail, et, comme tout un chacun, il rédigea son curriculum vitae...
Durée : 1h. 21min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 12379
Résumé:Quand on lit le titre Le Petit Meaulnes on croit d'abord à une énorme faute d'impression, un lapsus d'imprimeur ou, pire, un jeu de mots provocateur destiné à faire rire. Ce n'est pas le cas. Le Petit Meaulnes existe, je l'ai rencontré. La première fois c'était à la page 11 du livre de poche Le Grand Meaulnes. Il y fait un passage furtif. On apprend qu'il s'appelle Antoine et qu'il est le cadet du Grand Meaulnes...
Lu par : Fabienne Boichat
Durée : 2h.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 15019
Résumé:L'été, le jardin de Monsieur Riche sent la rose, celui de Monsieur Pauvre sent la merguez et la sardine. A l'église, les riches sont devant, les pauvres derrière. A la guerre, c'est le contraire. Quand Madame Riche a des flatulences, Madame Pauvre pète. Quand Monsieur Riche chasse le lion, Monsieur Pauvre chasse les mouches. Madame Pauvre s'interroge: Pourquoi on dit toujours pauvre con, jamais riche con? Ecrit par un ancien pauvre, cet ouvrage de sociologie légère rappelle, fort à propos, qu'il vaut mieux être riche et bien portant que pauvre et malade.
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 31418
Résumé:Portrait de la mère de l'écrivain, de l'enfance sérieuse mais gaie à Calais au rôle de femme rêveuse à Arras qui élève ses quatre enfants quasi seule. Un récit teinté de mélancolie pour écrire l'amour filial.
Durée : 1h. 19min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 15115
Résumé:Je regarde une vieille photo. J'étais pas mal, avant. Pourquoi, chaque année, je me trouve de moins en moins bien ? Peut-être parce que c'est l'hiver ? Si vous passez l'hiver, vous verrez : l'été, c'est pareil. Vous savez comment on s'aperçoit qu'on est vieux ? Quand, même bronzé, on reste moche.
Lu par : Alain Gaillard
Durée : 1h. 25min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 77227
Résumé:L'écrivain évoque son petit frère aujourd'hui décédé, Yves-Marie, faisant revivre avec délicatesse et humour leur enfance à Arras, entre un père médecin alcoolique et absent et une mère courageuse, une période où le bonheur était de manger les groseilles et les abricots de la tante Védastine, d'oser une journée d'école buissonnière ou de fabriquer des skis avec de vieilles lattes de parquet.
Lu par : Manon
Durée : 1h. 10min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 27780
Résumé:Manuel humoristique écrit par un père qui a le sentiment d'être allé trop loin dans le principe de l'enfant-roi et qui propose des exercices résolument toniques pour reprendre en main le destin familial : comment culpabiliser ses enfants ? Comment leur piquer leur mobylette ou leur haschich ? Comment les déshériter ?, etc.
Lu par : Flory Lambelet
Durée : 2h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 15949
Résumé:Pour la première fois dans son oeuvre, Jean-Louis Fournier parle de ses garçons, pour ses garçons. Parce que le temps presse et qu il faut dire autrement. Dire autrement la question du handicap, sans l'air contrit ou la condescendance.
Durée : 1h. 56min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 17102
Résumé:« Qu'est-ce que je fais là ? J'ai dans les mains un fourchet, le manche est poisseux, je charrie du fumier. Les vaches me regardent avec dédain, seul le regard très doux d'une génisse m'apaise. Mes mains sont barbouillées de purin, elles puent. Je cours toutes les cinq minutes à l'évier de la cuisine pour les laver. Hier je voulais devenir Fellini, aujourd'hui, je suis dame pipi de vaches. »
Lu par : Gérard Pliquet
Durée : 1h. 43min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 25132
Résumé:Jean-Louis Fournier, un des rares auteurs à savoir conjuguer pédagogie et plaisir, s'attaque à l'enseignement des sciences naturelles. Pourquoi l'alouette n'a-t-elle pas de sabots ? Que trouve-t-ton dans un expert-comptable qu'on a vidé ? Quand les feuilles du haricot sèchent, est-ce la fin des haricots ? Des questions inattendues mais des réponses scientifiques. De la brave vache au chaud lapin, en passant par la reproduction de l'homme et l'étude de la pomme de terre, "mère de toutes les frites", ce livre insolent et drolatique fera, comme la Grammaire imperitnente, le bonheur des écoliers et de leurs maîtres.
Lu par : Geneviève Roy
Durée : 1h. 45min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 18150
Résumé:« Je suis veuf, Sylvie est morte le 12 novembre, c'est bien triste, cette année on n'ira pas faire les soldes ensemble. Elle est partie discrètement sur la pointe des pieds, en faisant un entrechat et le bruit que fait le bonheur en partant. Sylvie m'a quitté, mais pas pour un autre. Elle est tombée délicatement avec les feuilles. On discutait de la couleur du bec d'un oiseau qui traversait la rivière. On n'était pas d'accord, je lui ai dit tu ne peux pas le voir, tu n'as pas tes lunettes, elle ne voulait pas les mettre par coquetterie, elle m'a répondu je vois très bien de loin, et elle s'est tue, définitivement. J'ai eu beaucoup de chance de la rencontrer, elle m'a porté à bout de bras, toujours avec le sourire. C'était la rencontre entre une optimiste et un pessimiste, une altruiste et un égoïste. On était complémentaires, j'avais les défauts, elle avait les qualités. Elle m'a supporté quarante ans avec le sourire, moi que je ne souhaite à personne. Elle n'aimait pas parler d'elle, encore moins qu'on en dise du bien. Je vais en profiter, maintenant qu'elle est partie. » Jean-Louis Fournier souhaitait mourir le premier, il a perdu. Sa femme partie, il n'a plus personne avec qui parler de lui. Alors pour se consoler, ou pour se venger, en nous parlant d'elle, il nous parle de lui.